Appel à projets : Fonds Thiepolam 2025/2026

Les projets doivent nécessairement être des projets de recherche ayant un objet clairement identifié. Il ne peut en aucun cas s’agir d’une manière déguisée de solliciter un subside de fonctionnement.

Chaque projet doit être placé sous la responsabilité d’un(e) et d’un(e) seul(e) promoteur ou promotrice, appartenant au corps académique de l’ULB, et ce même dans le cas d’un projet de recherche qui impliquerait une collaboration avec une ou plusieurs autres institutions belges ou étrangères. Le promoteur ou la promotrice sera le seul interlocuteur du Fonds pour le projet et il/elle seul·e sera amené·e à rendre des comptes au Comité scientifique et/ou au Comité de gestion du Fonds Thiepolam.

Tout membre du corps académique de l’ULB menant des recherches innovantes sur portant sur le rôle et l’impact du religieux - dans son acceptation la plus large (religieux, parareligieux et laïc) - peut postuler au Fonds. Les disciplines retenues sont notamment histoire, histoire de l’art, anthropologie, sociologie, littérature, communication, philosophie, archéologie, économie, santé, psychologie et sciences politiques.

Chaque projet fera l’objet d’une évaluation annuelle par un Comité scientifique dont la composition est fixée par le Comité de gestion. À ce jour, les membres composant le Comité scientifique sont le Professeur Ginette Kurgan, le Professeur André Sapir et le Professeur Didier Viviers, ce dernier assurant la présidence.

L’engagement financier est ferme pour la première année et conditionné à l’évaluation annuelle pour les deux éventuels renouvellements d’une année chacun.

La sélection entre les différents projets de recherche se fera sur proposition du Comité scientifique au Comité de gestion et sur la base des critères suivants : la qualité scientifique du projet, l’impact sociétal (direct ou indirect) et enfin la rigueur du budget établi et son adéquation avec l’objet de la recherche.

Les projets retenus seront financés sur base de leurs besoins semestriels suivant un planning convenu, étayés par des pièces justificatives.

L’objet du projet de recherche pourrait évoluer au cours de la période, ainsi que la répartition du subside octroyé, pour autant que cette évolution soit dûment argumentée et soit approuvée par le Comité scientifique.

Le promoteur ou la promotrice du projet sera tenu(e) d’informer tous les six mois le Comité scientifique de l’évolution des recherches par rapport aux milestones initialement prévus. De plus, à l'issue de la recherche, un rapport sera soumis par le promoteur ou la promotrice du projet au Comité scientifique pour une évaluation finale de la recherche. Ce rapport final sera transmis avec commentaires éventuels au Comité de gestion.